A new monograph on iconic artist, Anselm Kiefer, that delves into what it means to create German art in the aftermath of the Second World War The work of Anselm Kiefer begins with a crucial question: how, after the Holocaust, can one be an artist within the German tradition? Born at the end of the Second World War, Kiefer’s career represents a quasi-existential quest to redefine Germanness. This new monograph will examine the foundation of Kiefer’s work: memory and our response to it. Kiefer’s artistic perspective is informed in turn by great literary works, myths, tales, legends, and particularly the world of Kabbalistic mysticism. This unprecedented monograph explores his passion for alchemy, his admiration for great female figures obscured by history, and his relationship with the landscape and nature, a notable topic of his most recent works. Art historian Dominique Baque´ also highlights an aspect of Kiefer’s work that has received little critical attention: his conceptual understanding of the book and photography. In fact, Kiefer mixes many forms and media, and Baqué expands this study with a discussion of the often-overlooked performance element of his work, starting with his first actions from the end of the 1960s. 250 illustrations

Anselm Kiefer: A Monograph

Arts & Photography

Baqué, Dominique

History & Criticism

Thames&Hudson

L'Effroi du présent: Figurer la violence

Literature & Fiction

Essays & Correspondence

Flammarion

Maurice Tabard (Les Grands photographes) (French Edition)

Reference

Foreign Language Study & Reference

Paris Audiovisuel

Histoires d'ailleurs

REGARD

Yves Saint Laurent. Les derniers jours de Babylone. Les adieux à l'appartement d'Yves Saint Laurent

Bergé, Pierre

Photography & Video

On reconnaît immédiatement une photographie d'Helmut Newton. Comme s'il avait inventé un monde, le sien, à nul autre pareil, et une écriture photographique singulière, totalement maîtrisée, apollinienne, presque froide.Mais on sait moins le versant obscur, dionysiaque de l'œuvre . Premier essai consacré à l"oeuvre du photographe Helmut Newton 
On reconnaît immédiatement une photographie d'Helmut Newton. Comme s'il avait inventé un monde, le sien, à nul autre pareil, et une écriture photographique singulière, totalement maîtrisée, apollinienne, presque froide. 
Et, de Newton, l'imaginaire collectif a retenu une iconographie triomphante, solaire, faite de femmes en gloire, athlétiques, puissantes et désirantes, d'un érotisme glacé, de piscines californiennes à la David Hockney, de palaces fastueux, de fourrures et de bijoux. Bref, le monde des riches. 
Mais on sait moins le versant obscur, dionysiaque de l'œuvre : la satire des riches et des puissants, l'élaboration d'un érotisme des ténèbres, où se jouent rituels SM, minerves, prothèses, enserrements du corps, et qui ouvre l'apollinisme apparent des images à la blessure dionysiaque. Jusqu'à la mise en scène des " doubles " à l'inquiétante étrangeté freudienne, des " écorchés ", des vrais-faux cadavres, des meurtres. Jusqu'à la cruelle lucidité, enfin, de son regard sur le vieillissement des corps – y compris le sien, qui fut confronté à la maladie. 
Surtout, et d'autant plus qu'il en a très peu parlé et s'est toujours refusé à en faire son fonds de commerce, on ignore que le jeune Helmut est d'abord un Juif berlinois rescapé de l'extermination nazie, dont la vie a sans cesse rejoué la figure mythique du Juif errant et qui trouva dans Paris, sa ville d'élection, le lieu où s'enraciner enfin, après Singapour, l'Australie, Londres et Los Angeles. 
Et c'est précisément à l'aune de cette judéité, jamais revendiquée comme telle mais douloureuse, que l'auteur a voulu réexaminer le corpus newtonien : en témoignent ces corps de femmes puissantes qui s'avèrent la réplique du corps aryen glorifié par le nazisme, le fétichisme des uniformes, du cuir et des casques, la présence obsédante des chiens, ou encore les portraits de Léni Riefensthal, l'égérie du Troisième Reich. 
Mais, de ce désastre " germanique ", Newton n'aura jamais fait la plainte amère ou rageuse : il a choisi, tout au contraire, de le magnifier. Premier essai consacré à l"oeuvre du photographe Helmut Newton

Helmut Newton - Magnifier le désastre

The Chronicles traces the artist JonOne's unusual journey from New York to Paris and from the spray can to the paintbrush. Born in Harlem in the early 60s, the artist's early career is firmly rooted in the rule-bound hierarchy of tagging and graffiti culture. With his move to Paris in 1987, JonOne's artistic constrictions were quickly cast aside. The energy of his paintings on canvas was undeniable and almost immediately found a rapt audience in Europe. By the 1990s he was fully engaged by his studio practice and gallery shows. To this day, JonOne's colorful and frenetic work continues to make waves, most recently with gallery shows in New York and Art Basel, Miami. Alongside over 300 paintings created over the past 30 years, texts by Henry Chalfant, Magda Danysz, agns b, Tom Laurent, Alan Ket and others bring this fascinating artist's career fully into focus.

Jonone: The Chronicles

Humor & Entertainment

Pillault theophile

Pluskwa, David

Pop Culture

Ed Du Griffon

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