"Anti-Semitism revisited in a wholly original way" Philippe Sands\n"Rippling with ideas on every page" Jewish Chronicle\n"Tackles the issue [of anti-semitism] from the perspective of a country where its manifestations have been more vicious and deadly" Financial Times\nRabbi Delphine Horvilleur analyses the phenomenon of anti-semitism as it is viewed by those who endure it and who, through narration and literature, succeed in overcoming it. Jewish texts are replete with treatments of anti-semitism, of this endlessly paradoxical hatred, and of the ways in which Jews are perceived by others. But here, the focus is inverted: Anti-Semitism Revisited explores the hatred of Jews as seen through the lens of the sacred texts, rabbinical tradition and Jewish lore.\nDelphine Horvilleur gives a voice to those who are too often deprived of one, examining resilience in the face of adversity and the legacy of an ancient hatred that is often misunderstood. An engaging, hopeful and very original examination of anti-semitism: what it means, where it comes from, what are the ancient myths and tropes that are weaponised against Jewish people, and how do we take them apart.\nTranslated from the French by David Bellos

Anti-Semitism Revisited: How the Rabbis Made Sense of Hatred

History

Horvilleur, Delphine

Europe

Quercus Publishing

Does modernity trample on tradition, or can it in fact be a vehicle for the sacred?\nHow can one determine whether an interpretation is legitimate, anachronistic or corrupted?\nDoes sexual obsession have a textual origin, and is it woman’s destiny to be veiled?\nIn Eve’s Attire confronts these questions and more to suggest another interpretation of religious traditions surrounding the female body and the erotic.\nAs current fundamentalist religious discourse expresses a growing fixation on modesty, women are increasingly reduced to those parts of their bodies that arouse desire, effectively “genitalised” until the totality of their bodies becomes taboo. In resistance to such interpretations of religious text, which see even a woman’s voice as an erotic organ to be silenced, Rabbi Delphine Horvilleur looks not only at religious texts themselves, but also at their interpreters, as she unpicks readings that make the woman a temptress, and modesty the instrument of her oppression. She shows us how nakedness, as expressed by Adam, Eve or Noah, refers to a culture of desire and not a wish to suppress it and explores how the veil was originally intended: not to reject, but to approach the other.\nThrough her analysis of the meaning of modesty and nudity in Judaism, Delphine Horvilleur explores the societal and religious obsession with the female body and its representation and asks questions about how we can engage more critically with interpretations of sacred texts.

In Eve's Attire: Modesty, Judaism and the Female Body

Religion & Spirituality

Judaism

A MAJOR INTERNATIONAL BEST-SELLER A timely, powerful reflection on our relationship to death and an invitation to accept loss and vulnerability as essential and enriching parts of life, from France's most prominent female rabbi and a leading intellectual.&nbsp; The New York Times describes Delphine Horvilleur as "the rare intellectual to bring religious texts into the public square," and, as one of only five female rabbis in France, unique in that she "calls for a plurality of religious voices in interpreting holy texts." Living with Our Dead is a profoundly humanist, universal, and hopeful book that celebrates life, love, memory, and the power of storytelling to inspire and sustain us. In this moving book by the leader of France's Liberal Jewish Movement, Delphine Horvilleur recounts eleven stories of loss, mourning, and consolation, collected during the years she has spent caring for the dying and their loved ones. From Elsa Cayat, the psychologist and Charlie Hebdo columnist killed in the 2015 terrorist attack, to Simone Veil and Marceline Loridan, "the girls of Birkenau"; from Israeli Prime Minister Yitzhak Rabin, assassinated in 1995, to Myriam, a New Yorker obsessed with planning her own funeral, to the author friend's Ariane and her struggle with terminal illness. In telling these stories and her own relationship to them, Horvilleur addresses death and dying with intelligence, humor, and compassion. Rejecting the contemporary tendency to banish death from our thoughts and discourse, she encourages us to embrace its presence as a fundamental part of life.&nbsp;

Living with Our Dead: On Loss and Consolation

Self-Help

Death & Grief

Europa Compass

Dans cette Petite Conférence, Delphine Horvilleur s'interroge sur la façon dont nous comprenons le monde, et pour cela, sur la façon dont nous le racontons. L'importance du récit, les rabbins la connaissent mieux que personne. Elle évoque donc son métier de femme rabbin. Elle le définit comme un geste d'écoute et d'ouverture envers les autres, à partir de l'étude des récits bibliques. Elle explique comment les récits, les contes, les mythologies, les textes religieux ont mille choses à nous raconter. Comment ils cherchent continuellement à établir du lien entre les générations, à nous dire que la nouvelle génération n'est pas la copie conforme de l'ancienne et que le monde a besoin d'une mise à jour. À chacun de trouver le sens qui lui semble être le bon, car nous pouvons reconstruire le sens de la phrase et le sens du monde, afin qu'il soit pertinent pour nous tous.

Comprendre le monde

BAYARD ADULTE

Les discours religieux fondamentalistes actuels expriment une obsession croissante de la pudeur des femmes. Réduite aux parties de son corps susceptibles d'éveiller le désir, la femme est « génitalisée » à outrance. Faut-il alors couvrir sa nudité ? Faut-il la renvoyer à son destin : le voilement ? Delphine Horvilleur analyse successivement les sens de la pudeur et de la nudité, l'obsession du corps de la femme et sa représentation comme "être orificiel" pour proposer une autre interprétation de la tradition religieuse. Elle met à mal les lectures qui font de la femme un être tentateur, et de la pudeur l'instrument de sa domintation. Ainsi nous montre-t-elle comment la nudité recouverte d'Adam, d'Eve ou de Noé, renvoie à une culture du désir et non à une volonté de le tuer. Comment le voile est à l'origine destiné, non à rejeter, mais à approcher l'autre. Comment le féminin concerne aussi les hommes qui endossent, dans la prière et la pratique judaïques, les attributs des femmes et du maternel. On découvre alors, dans cette plongée au cœur des grands monothéismes, un autre visage de la femme, de la pudeur, et de la religion.

En tenue d'Eve: Féminin, Pudeur et Judaïsme

GRASSET

Sartre avait montré dans Réflexions sur la question juive comment le juif est défini en creux par le regard de l’antisémite. Delphine Horvilleur choisit ici de retourner la focale en explorant l’antisémitisme tel qu’il est perçu par les textes sacrés, la tradition rabbinique et les légendes juives. 
Dans tout ce corpus dont elle fait l’exégèse, elle analyse la conscience particulière qu’ont les juifs de ce qui habite la psyché antisémite à travers le temps, et de ce dont elle « charge » le juif, l’accusant tour à tour d’empêcher le monde de faire « tout » ; de confisquer quelque chose au groupe, à la nation ou à l’individu (procès de l’« élection ») ; d’incarner la faille identitaire ; de manquer de virilité et d’incarner le féminin, le manque, le « trou », la béance qui menace l’intégrité de la communauté. 
Cette littérature rabbinique que l’auteur décortique ici est d’autant plus pertinente dans notre période de repli identitaire que les motifs récurrents de l’antisémitisme sont revitalisés dans les discours de l’extrême droite et de l’extrême gauche (notamment l’argument de l’« exception juive » et l’obsession du complot juif). 
Mais elle offre aussi et surtout des outils de résilience pour échapper à la tentation victimaire : la tradition rabbinique ne se soucie pas tant de venir à bout de la haine des juifs (peine perdue…) que de donner des armes pour s’en prémunir. 
Elle apporte ainsi, à qui sait la lire, une voie de sortie à la compétition victimaire qui caractérise nos temps de haine et de rejet.

Réflexions sur la question antisémite (French Edition)

About the Author\nRabbin de Judaïsme en Mouvement, Delphine Horvilleur dirige la rédaction de la revue Tenou’a. Elle est notamment l’auteur de En tenue d’Eve : féminin, pudeur et judaïsme (Grasset, 2013), Comment les rabbins font desenfants : sexe, transmission, identité dans le judaïsme (Grasset, 2015), Réflexions sur la question antisémite (Grasset, 2019) et Vivre avec nos morts (Grasset, 2021).\n« Tant de fois je me suis tenue avec des mourants et avec leurs familles. Tant de fois j’ai pris la parole à des enterrements, puis entendu les hommages de fils et de filles endeuillés, de parents dévastés, de conjoints détruits, d’amis anéantis… » 
Etre rabbin, c’est vivre avec la mort : celle des autres, celle des vôtres. Mais c’est surtout transmuer cette mort en leçon de vie pour ceux qui restent : « Savoir raconter ce qui fut mille fois dit, mais donner à celui qui entend l’histoire pour la première fois des clefs inédites pour appréhender la sienne. Telle est ma fonction. Je me tiens aux côtés d’hommes et de femmes qui, aux moments charnières de leurs vies, ont besoin de récits. » 
A travers onze chapitres, Delphine Horvilleur superpose trois dimensions, comme trois fils étroitement tressés : le récit, la réflexion et la confession. Le récit d’ une vie interrompue (célèbre ou anonyme), la manière de donner sens à cette mort à travers telle ou telle exégèse des textes sacrés, et l’évocation d’une blessure intime ou la remémoration d’un épisode autobiographique dont elle a réveillé le souvenir enseveli. 
Nous vivons tous avec des fantômes : « Ceux de nos histoires personnelles, familiales ou collectives, ceux des nations qui nous ont vu naître, des cultures qui nous abritent, des histoires qu’on nous a racontées ou tues, et parfois des langues que nous parlons. » Les récits sacrés ouvrent un passage entre les vivants et les morts. « Le rôle d’un conteur est de se tenir à la porte pour s’assurer qu’elle reste ouverte » et de permettre à chacun de faire la paix avec ses fantômes…

Vivre avec nos morts: Petit traité de consolation

Reference

Writing, Research & Publishing Guides

Il n'y a pas de Ajar: Monologue contre l'Identité

Literature & Fiction

Genre Fiction

Comment ça va pas ?: Conversations après le 7 octobre

Essays & Correspondence

Product description 
A lheure des replis communautaires et des identits figes, que signifient appartenir et transmettre Contrairement ce quaffirment tous les fondamentalismes, la transmission dun hritage ne doit pas tre une rplication lidentique. Elle dpend dune infidlit partielle, garante de surgissements inattendus, aujourdhui comme hier. Mariant filiation et rupture, la tradition juive ne se renouvelle quen tant bouscule et nourrie par sa rencontre avec dautres ; cela implique louverture lEtranger, ainsi que louverture au Fminin. Cet ouvrage est donc dabord un plaidoyer pour une religion matricielle qui, la manire dun utrus, est un lieu de fertilisation. Les textes sacrs eux-mmes y sont fconds par des lectures indites. Illustrant brillamment cette vision ouverte de la religion, Delphine Horvilleur revisite, loin des interprtations convenues, quelques pisodes fameux de la Gense, notamment Adam et Eve, Can et Abel, lhistoire biblique des premiers parents et des premiers enfants de lhumanit. Elle montre aussi sa capacit repenser les grands problmes contemporains partir de la tradition rabbinique. Trois thmes sont successivement abords : comment, selon le judasme, se fabriquent un parent, une identit et un dsir, cest--dire la possibilit denfanter lavenir. Procdant avec clart et humour, citant aussi bien Emile Ajar et Amos Oz que la Gense et le Talmud, elle conclut son livre par une analogie entre le Texte et le Fminin, dots dune mme capacit de crotre et de multiplier. 
 About the Author \nRabbin de Judaïsme en Mouvement, Delphine Horvilleur dirige la rédaction de la revue Tenou’a. Elle est notamment l’auteur de 
En tenue d’Eve : féminin, pudeur et judaïsme (Grasset, 2013), 
Comment les rabbins font des 
enfants : sexe, transmission, identité dans le judaïsme (Grasset, 2015), 
Réflexions sur la question antisémite (Grasset, 2019).

Comment les rabbins font les enfants: Sexe, transmission et identité dans le judaïsme

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